A l'occasion du salon Paris Manga 2012 où je ne suis pas allé, et où je n'ai donc pas vu Teal'c, j'en profite pour m'essayer à un style dans lequel il me reste encore pas mal à apprendre. J'avoue que c'est plutôt amusant à faire.

Cet après-midi au bureau j'ai reçu un appel d'Espagne, de la part d'un certain Jesus [rézous].  Une idée en entrainant une autre, me voilà alors en train de griffonner sur une feuille blanche qui gisait là, sous mon clavier, l'un de mes héros d'aventures (intérieures) préférés. Une fois à la maison, il ne restait plus qu'à faire un peu de mise en scène et voilà l'occasion de vous faire partager ce petit moment d'élévation spirituelle.

En vérité je vous le dis, Bonne journée à tous...

Il s'est longtemps fait attendre sur cette page. C'était en partie du  aux effets de son impétueuse entrée en scène qui a généré bon  nombre de perturbations techniques parmi tous mes outils de  publication.

 Mais que ce soit sur une planche à dessins ou dans la vraie vie, le  Dragon de Feu ne se laisse pas facilement dompter. Pourtant,  quand il nous entraine dans son sillage, même si ça secoue parfois  un peu, il a le don de nous emmener très loin.

 Voilà pourquoi je vous souhaite une fois de plus de le laisser vous  ouvrir La Voie et que vous puissiez apprécier au mieux la grande  chevauchée céleste de 2012.

 Xin Nian Kuai Le !

Tiens, j'ai retrouvé un dessin d'archive en technicolor pour les citadins qui ont décidé de retrouver l'esprit pionnier et de se lancer dans l'aventure de la vie à la campagne...

Le temps est venu de retourner une fois de plus l'énorme sablier temporel et de se souhaiter ce qu'il y a de meilleur pour ce dodécamestre qui commence.

J'en profite pour partager une pensée avec ceux qui, comme moi, pensent qu'il est libre Max, et qu'il faut surtout faire en sorte qu'il le reste tout au long de 2012. Même si je n'ai pas été tous les jours très sage et que j'en demande pardon, l'année écoulée a été comme une clémentine : douce, juteuse, et sans pépin (déformation professionnelle). Ainsi avant que la nuit descende sur les sapins blancs et nos chalets de bois, et que San Francisco s'embrume, j'ai envie de crier : Hallelujah ! 2012 I'm Yours...

(Ça, ce sont les séquelles des joyeuses soirées de mes vacances de Noël au Pays des 1001 vaches)

Samedi 31 décembre, semble être le jour idéal pour consolider tout ça et commencer à appliquer les résolutions de début d'année. En effet les spécialistes recommandent de ne pas quitter la scène des "bonnes résolutions" sans entreprendre une action concrète, aussi petite soit-elle, afin d'enclencher le processus d'auto motivation. Voilà pourquoi cette semaine après le boulot, juste avant la fermeture des magasins, j'ai bravé la circulation et la pluie, pour trouver une remplaçante à ma vieille tablette graphique qui avait cessé de fonctionner. Grâce à ça, j'ai pu encore publier ces petites cartes de vœux improvisées, qui n'ont d'autre message que celui de vous laisser agréablement surprendre par 2012.

Bon passage à la Nouvelle Année à tous !

Allez, on range les stylos et on éteint l'ordinateur, car voici venu l'heure du départ en vacances.

Ici commence pour moi la grande traversée nocturne de la France de Noël et de ses villages illuminés, pour rejoindre ce fameux pays des mille et une vaches.

Je m'apprête à revivre la magie d'une de ces longues nuits d'hiver dans lesquelles il fait si bon s'enfoncer, au rythme d'une sélection musicale de circonstances, en suivant des routes de campagne désertées.

Sur fond d'obscurité paisible, où scintillent tour à tour les sapins du dehors, les façades des mairies, les vitrines des magasins, les réverbères décorés et les feux de signalisation, il est enivrant de revisiter et de retoucher à volonté (grâce à la version mentale de Photoshop®) les meilleurs moments de l'existence, ceux passés, ceux à venir et ceux que l'on vit en rêve.

Bonne fête de Noël à tous !

Quelques jours avant mes vacances au pays des mille vaches, j'en profite pour relâcher la pression accumulée au cours de ces derniers jours. Un laps de temps qui m'a tenu un peu à l'écart de mes crayons, pour y faire des choses plus sérieuses et plus... Rââââââhhhhh !!

Voilà, ça c'est dit. Il est temps de lâcher prise et d'aborder l'idée d'un petit retour imminent au pays, avec joie et sérénité.

En attendant, je laisse l'Urgence à ceux dont c'est le métier, en leur souhaitant bon courage et bonne nuit.

… pour ce deuxième Dimanche de l'Avent, qui n'en a pas manqué (de vent !) et qui commence à voir s'illuminer un peu plus les rues et les maisons alentour.

Bonne semaine à tous.

... éclairer le début de ce mois de décembre, qui va nous emmener au rythme du calendrier de l'Avent, jusqu'au cœur de l'hiver, là où le printemps plante immuablement sa graine, afin que les jours ne raccourcissent plus.

Puis viendra la lumineuse fête de Noël qui revêt bien des formes, et donne à tant d'êtres humains cette douce sensation de répit.

Décembre nous laissera alors le temps de coucher sur les dernières pages de notre agenda, quelques pensées rétrospectives concernant les accomplissements de l'année écoulée, avant de nous ouvrir le tome suivant, que l'on espère plein de promesses.

Cette trentaine de matins pleins de mystères enfouis dans la brume, de jours que le soleil réchauffe à peine et de nuits où brillent toutes sortes de lumières rassurantes, cela vaut bien que l'on commence par y allumer une petite bougie.

Celle-ci je l'allume pour vous...

On se dit à dimanche prochain ?

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        La semaine dernière, les premiers camions venus de l’est déversaient sur les parkings du marché de gros de Rungis les premières montagnes de sapins horizontaux destinées à la vente.

Depuis les coulisses des fêtes de Noël, où s’entassent ces milliers d’arbres aux branches entravées qui sentent bon le sapin, je ne peux m’empêcher d’imaginer les fiers conifères adolescents en pleine montée de sève et les joyeux petits sapins qui, hier encore, croyaient que les hivers allaient se succéder pendant au moins un siècle. Tous ont connu la morsure des tronçonneuses, la terre qui se dérobe sous leur tronc, l’entassement, les trépidations du voyage et le désespoir, et attendent maintenant de pouvoir se dresser à nouveau dans une maison, un hall d’immeuble ou un rond-point, pour y briller encore de tous leurs attributs jusqu'à l’Épiphanie. Avoir connu cette gloire éphémère, peut-être même jusqu'à la St Raymond, sera la récompense des plus chanceux, alors que les invendus s'en retourneront rapidement à la sciure.

Pourtant, au-delà de cette vision un peu dépoétisée du mystère de Noël, je continue d’apprécier cette tradition du sapin décoré, ami des enfants. En attendant de pouvoir, comme par le passé, en planter un bientôt (j’ai trouvé un nouvel endroit), c’est autour de mon arbre synthétique, citadin et moins avide de compassion, que je prendrai, cette année encore, le temps de bénir tous ces arbres retaillés qui comptent au nombre des milliards d’autres ayant servi l’humanité tout au long de son histoire, et dont l’arbre de Noël reste pour moi l’un des plus beaux symboles.

Un souhait ? Que chacun de ces sapins trouve sa place dans notre belle capitale, sans que le symbolisme de masse, qui inonde le marché en cette période des fêtes, continue d’évoluer en une propagande qui n’a que faire des excès et des laissés-pour-compte.